Mon fils est énurétique (énurésie secondaire diurne) depuis l'âge de 5 ans et demi. Il va avoir 13 ans.
Si les symptômes de jour se sont considérablement réduits aujourd'hui, il lui arrive encore ponctuellement des accidents de jour et il est systématiquement mouillé la nuit.
Pas de symptôme physique identifié, à part une prédisposition familiale... Un choc affectif initial constaté (perte d'un grand-père suite à une maladie).
Les traitements faits ne donnent rien : suivi psychologique, minirin, oxybutinine... il a des effets secondaires des traitements qui ne permettent pas d'augmenter les doses. Ils n'ont pas de réelle efficacité. Il a été suivi par un urologue et un psychiatre. Nous avons aussi essayé l'ostéopathie, la kinésithérapie, l'alarme stop pipi...
Il porte actuellement des semelles pour améliorer sa posture et réduire la pression sur sa vessie, pression importante du fait de sa cambrure qui a été identifiée par l'ostéopathe.
L'énurésie est multifactorielle et difficile à cerner, agir dessus efficacement est difficile, chaque cas étant différent. Je suis souvent découragée...
Que peut-on faire dans pareil cas ?
Nous n’avons pas essayé l'hypnose : cela peut-il être efficace ?
Je me pose une autre question concernant les couches : on nous a recommandé de ne pas lui mettre de couches sauf pour les sorties. Mais ce n'est pas très agréable de dormir dans un lit mouillé toutes les nuits. De plus, il fait tellement pipi en quantité que les couches débordent régulièrement quand il les utilise (drynights).
C'est un enfant très actif (mais pas hyperactif) qui se dit jamais fatigué et qui a du mal à aller se coucher. Il est très sportif.
Heureusement, cela ne le perturbe pas trop, en apparence en tout cas. Il part en colonie sans trop de difficulté et gère dans ces circonstances son problème avec des couches la nuit et avec un surplus de vêtements pour le jour.
Merci de vos conseils...